Lorsque les difficultés scolaires ne sont pas liées à des déficits cognitifs importants, d’origine cérébrale, ils sont généralement étroitement liés à la façon dont l’enfant ou l’étudiant accepte ou non d’entrer pleinement dans la vie et d’en assumer les responsabilités. Les angoisses existentielles face, par exemple, à la séparation, au sens du travail scolaire ou aux choix d’orientation, sont essentiels. Dans le cas des enfants mineurs, le rôle des parents et la nature des relations qu’ils entretiennent au sein de la famille doivent être pris en compte. En particulier, on s’intéressera aux « injonctions parentales », ces petites phrases souvent répétées à l’enfant, ou seulement suggérées, qui finissent pas orienter son comportement (par exemple : « tu n’y arriveras pas tout seul », « Tu ne dois pas grandir », etc. (lien vers injonctions parentales)
Des aménagements simples et concret, et permettant une plus grande autonomie de l’enfant au quotidien (responsabilisation, émancipation, autorisation de savoir et de savoir faire), donneront souvent de très bons résultats.
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Eudes Séméria psychologue
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"Ninouche"
Génial je vous écouter sur you tube Je vous m'avez apporte beaucoup d' outil Pour mieux comprendre mes failles et me reconstruire Merci